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Séries Doctor Who – Forest of the Dead (2) (4.09)

Doctor Who – Forest of the Dead (2) (4.09)

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doctor who 409 - Doctor Who - Forest of the Dead (2) (4.09)

Donna d’a retrouve à vivre une vie différente dans la campagne, aux côtés du Doctor Moon. Le Doctor essaie de combattre les ombres dans la Librairie, aidée par River Song. Le Doctor refuse d’admettre qu’ils se connaissent jusqu’à ce qu’elle lui murmure quelque chose à l’oreille.Mais avant tout : qu’est ce CAL et qu’est-ce qui peut arrêter les Vashta Nerada ?

Suite et fin de Silence in The Librairy. Reprise là où l’épisode s’était arrêté. Le rythme sera assez soutenu, et il y aura peu de moments de contemplation. Steven Moffat fait venir progressivement l’explication à travers l’intrigue se déroulant autour de Donna. Catherine Tate n’aura jamais autant collé à son rôle que dans cet épisode. Dommage que cela arrive si tard dans la saison.

Charlotte, la petite fille, suit les évènements qui arrivent à Donna en regardant la télévision. Une créature recouverte des pieds à la tête vient lui parler pour lui révéler la vérité sur sa vie. Sa fausse existence pour être précise. Charlotte est CAL (une référence que j’espère totalement assumée), et ce qu’elle voit la panique, mettant la Librairie en danger. On se serait passé volontiers du compte à rebours si humain, de même qu’une fin légèrement à rallonge et too much, très Doctor Who nouvelle série.

River Song connaît le Doctor. Mieux encore, elle connaît son nom, qui ne peut être dit qu’à une occasion spéciale. Beaucoup de teasing et de mystère autour de cette femme, très attachée au Doctor, un Doctor du futur, et avec forte probabilité, un autre visage. Cela n’étant pas totalement explicite, c’est un détail. Il n’empêche que ce mystère alimente une partie des dialogues, et il serait bien dommage que rien n’est était prévue pour la suite. Quasiment deux épisodes à évoquer un futur que le spectateur ne verrait jamais seraient fortement irritants. Sachant que c’est Steven Moffat qui reprend la fonction de Russel T. Davies, on peut espérer que le tout a été sagement pensé.

Un épisode dans son ensemble de très bonne facture, qui se permet d’attiser le spectateur sur le futur de la série, mais aussi sur le destin de Donna, déjà scellée. Quelques touches excessives auraient pu être évitées, mais on commence à avoir trop l’habitude pour vraiment s’en plaindre dans une histoire de ce niveau.

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