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Séries Doctor Who – The Parting of the Ways / À la croisée des chemins (1.13)

Doctor Who – The Parting of the Ways / À la croisée des chemins (1.13)

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doctor who 113 - Doctor Who - The Parting of the Ways / À la croisée des chemins (1.13)

La flotte Dalek veut détruire la Terre, et seul Rose, le Doctor, Jack et quelques humains peuvent les arrêter.

Suite et fin sur Satellite 5 et conclusion de la saison. Les Daleks, comme à leur habitude veulent exterminer, et ils ne sont pas du genre à ne pas agir. Le Doctor a un plan, seulement il faut du temps pour le mettre à exécution. Pendant ce temps, Jack et quelques humains, dont Lynda, vont s’opposer aux Daleks. Le Doctor va réussir à coincer Rose dans le Tardis, sachant qu’elle ne veut pas partir, et la renvoyer chez elle. Les deux sont alors séparés, et la jeune femme va tout faire pour revenir auprès du Doctor. Voilà donc les grandes lignes de l’histoire qui vont nous précipiter vers la fin.

Cet épisode possède un rythme assez soutenu, malgré, finalement, le peu de choses qui s’y passent. On reste sur Satellite 5, et la mini résistance qui se créée a peu de chance de survivre face aux attaques Daleks. On le sait, mais on y assiste quand même. Cela permet d’augmenter la tension dramatique.
Alors qu’on avait cru que les Daleks se trouvaient derrière l’expression Bad Wolf, il se trouve que ce n’est pas le cas, et il faudra attendre la toute fin ou presque pour découvrir qu’il s’agissait de Rose. Pas notre Rose ordinaire, mais avec l’énergie d’un vortex temporel en elle. C’est un peu difficile à expliquer, il faut bien le dire. Nous sommes en plein paradoxe temporel. Rose dit avoir laissé ses mots dans le temps et l’espace. Il faut bien reconnaître que c’est tordu comme idée, surtout vu le nombre d’époques et de lieu qu’ils ont traversés. Alors d’où l’expression tire-t-elle exactement son origine ? Les a-t-elle créés une fois en possession du pouvoir des Vortex, ou alors cela tire son origine de la Bad Wolf Corporation ? Ce n’est donc pas ce qu’il y a de plus explicite en la matière, et cette révélation n’a pas vraiment l’envergure qu’on aurait pu en attendre, après avoir passé une saison à attendre des révélations.

Quoi qu’il en soit, cet évènement va en entrainer un autre qui, sans grande difficulté, éclipse toute cette histoire. A tel point qu’on en oublierait presque la résurrection de Jack, sauvé par Rose, mais qui se retrouve coincé sur Satellite 5 – ni Rose, ni le Doctor ne sachant qu’il est revenu à la vie.
Alors que nous étions pris dans le feu de l’action, le rythme ne se calmant qu’à la fin, voici qu’un dernier évènement surgit : la régénération du Doctor. Pour sauver Rose, il a absorbé l’énergie qu’elle avait en elle, mais même après avoir tout renvoyé dans le Tardis, il ne peut survivre à une telle épreuve. Son corps, tout du moins. Cela rend sûrement heureux tout ceux qui n’aimaient pas la neuvième moulure, et qui accueillent donc ce changement avec plaisir, prêt à accepter un nouveau Doctor. Personnellement, je m’étais vite attachée à celui-là, et il me plaisait beaucoup.

Christopher Eccleston a choisi lui-même de partir, ne souhaitant pas être identifié au rôle culte du Doctor, et surtout, pour se lancer dans une toute nouvelle carrière, sur le sol américain. Il nous reste alors quelques secondes pour découvrir le visage de son remplaçant, que je vais donc essayer de ne pas trop détester. Il ne lui reste plus qu’à faire ses preuves !

Pour cela, on nous donne rendez-vous à l’épisode de Noël.

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