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Surface – Premiers contacts (1.01)

surface 101 - Surface - Premiers contacts (1.01)

Beaucoup de gens à travers le monde se retrouvent confrontés à d’étranges créatures inconnues sorties des océans. Parmi ces personnes : Laura Daughtery, biologiste marine en Californie et élevant seule son fils, Richard Connelly, un père de famille pêcheur dans le Golfe du Mexique, ainsi que Miles Barnett, un adolescent de Caroline du Nord, qui a découvert un œuf de ces créatures.

Pénétrer dans le monde de Surface n’est pas tâche aisée. Le pilote forme un ensemble assez décousu, où les scènes s’enchainent avec pour seule raison de nous montrer la vie de personnes que rien ne rapproche être lié par un phénomène extraordinaire : la découverte de monstres marins.

Le programme n’est pas alléchant. L’idée est pourtant attrayante, mais la mise en bouche souffre d’un manque d’intérêt. Miles Barnett est le premier confronté à la situation, dans l’eau, et c’est celui vers qui ira notre sympathie, car il a une bonne tête, et que son histoire est la plus étoffée. Il part à la chasse et ramène un œuf de monstre qui va éclore. Miles voit donc sa trame prendre un véritable sens dans l’épisode. Ce n’est peut-être pas ce qu’il y a de plus ingénieux, mais cela reste ce qu’il y a de plus consistant dans l’épisode.

Laura Daughtery va faire la rencontre d’un monstre à moins 5 000 pieds sous l’eau, et cela va lui faire perdre son travail. L’armée prend tout ce qu’elle trouve, avec aux commandes de sa branche scientifiques Aleksander Cirko. Ils sont là pour contenir l’information.

Il nous reste Richard Connelly, qui part faire aussi un tour dans l’eau, et dont le frère meurt dans l’aventure. Son histoire est à peine croyable et il décide d’aller à la quête d’informations.

Au bout de vingt minutes, le temps se fait long. La deuxième partie de l’épisode est un peu plus prenante dans le sens où le mystère commence à prendre forme. Avant, ce n’était que du vent.

Ce n’est donc pas une grande entrée en matière, le sujet reste suffisamment exotique pour qu’on continue l’aventure.

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