Aller au contenu
Séries Autres séries The Goode Family – Pleatherheads / Goodes Gone Wild (1.02&03)

The Goode Family – Pleatherheads / Goodes Gone Wild (1.02&03)

  • par
  • 2 min read

goode102 - The Goode Family – Pleatherheads / Goodes Gone Wild (1.02&03)

  • Pleatherheads

Ubuntu devient la star de l’équipe de foot. Gérald tente de s’intégrer aux autres pères qui supportent l’équipe, tandis qu’Helen devient excessivement motivée par la victoire. Bliss cherche un moyen d’améliorer ses chances d’aller à l’université.

Les Goode s’intéressent au football, un moyen d’aborder les rites qui entourent ce sport. La bonne idée est de ne pas se contenter de condamner la vision des autres parents, laissant à Gerald l’opportunité de s’intégrer à un univers loin du sien. Du coup, Unbuntu et son père ont le droit à une histoire correcte, mais Helen et Bliss doivent composer avec les restes et ce n’est pas très glorieux. La phase fan psychotique de la mère Goode est poussive, tandis que sa fille n’a aucun intérêt.

  • Goodes Gone Wild

Charlie rend visite à sa fille alors qu’elle s’occupe de faire adopter des animaux. Il tombe alors sur une étrange bête qu’il décide de recueillir. Helen voit là l’opportunité de se lier avec son père.

La blague du chien végétarien risque de devenir un classique, pas comme The Goode Family, mais au moins on pourra se souvenir de la série pour quelque chose. Certes, nous avons une fois de plus une histoire sympathique qui joue avec l’esprit bienfaiteur des Goode. On en profite pour donner à Helen quelques Daddy issues à régler et on nous emballe le tout dans une affaire d’adoption d’animaux exotiques répugnants. Il y a quelques bonnes idées, mais ça n’est pas très passionnant.

Seconde semaine pour les Goode et le résultat n’est pas très convaincant. La série réussit tout de même à utiliser des codes installés efficacement et rapidement qui lui donnent l’opportunité de se concentrer sur les personnages. Malheureusement, toujours compter sur la séparation entre faire ce qui est bien et faire ce que l’on veut est déjà une routine peu inspirée.