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Flashback : Les repentis

once a thief - Flashback : Les repentis

Fiche Technique

Titre Original : Once a thief
Titre Traduit : Les repentis
Créateur : John Woo (?)
Années : 1997
Nombres d’épisodes : 23
Casting : Ivan Sergei (Mac Ramsey), Sandrine Holt (Li Ann Tsei), Nicholas Lea (Victor Mansfield), Jennifer Dale (The Director), Howard Dell (Agent Dobrinsky), Victoria Pratt (Jackie Janczyk), Greg Kramer (Murphy), Julian Richings (Camier).

L’histoire : Mac Ramsey et Li Ann Tsei, orphelins élevés par la famille criminelle Tang, se retrouvent à travailler aux côtés de Victor Mansfield, un ex-policier, dans une organisation secrète, dirigée par la mystérieuse Directrice, pour combattre le crime organisé.

Souvenirs

Once a Thief, c’est, à l’origine, un film de John Woo. À l’époque, Woo était une sorte de dieu mythologique du cinéma d’action HK et il était difficile de passer à côté de cette série, enfin, pour moi – surtout qu’il y avait Nicholas Lea aka Alex Krycek. Ça tombait bien, car Canal + la diffusa et je n’ai pas raté un épisode.

Le truc qui m’avait vraiment accroché, à part les gunfights et autres bastons, c’est le côté complètement décalé de la série. Les histoires partent parfois dans des purs délires avec des bad guys over the top comme Nicolas Lamour, mon préféré.

J’étais aussi un grand fan du duo de tueurs Camier et Murphy, mais rien n’égalera Dobrinsky au piano.

Mon épisode préféré, si je dois en désigner un, ce serait surement celui avec le prince et le tueur psychopathe qui rêve de devenir un grand réal avec ses snuffs. Il y a aussi celui qui parodie X-Files, mais ça c’est juste parce que je suis un fan et donc, c’est plus affectif, car l’épisode n’est pas le meilleur.

Bref, Les Repentis c’était beaucoup de fun, mais ça ne dura pas, vu que la série n’a eu qu’une saison avec une fin, une vraie – pas la meilleure, mais c’était quand même une fin. Du coup, pour me consoler, j’avais les rediffusions et les cassettes vidéos – enregistrements de piètre qualité fait sur RTL9. Aujourd’hui, pour les revoir, une seule solution : les DVDs édition TF1 et juste ça. Bien entendu, il n’y a même pas de piste VO, mais ça ne m’a pas empêché de les acheter vu que c’est la seule édition DVD à contenir l’intégralité des épisodes (sauf le téléfilm pilote).

En tout cas, Once a thief est une série à part, grâce à son style et son sens du second degré. C’est surement parce qu’elle est canadienne qu’elle a pu se permettre tout ça à l’époque.

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