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Flashback : The Players, les maîtres du jeu

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players - Flashback : The Players, les maîtres du jeuTitre Original : Players
Titre Traduit : The Players, les maîtres du jeu
Créateur : Reggie Rock Bythewood, Shaun Cassidy et Ice-T.
Années : 1997-1998
Nombre d’épisodes : 18
Casting : Costas Mandylor (Alphonse Royo), Mia Korf (Christine ‘Chris’ Kowalski), Ice-T (Isaac ‘Ice’ Gregory), Frank John Hughes (Charlie O’ Bannon)

L’histoire : Trois arnaqueurs participent à un programme du FBI, et les aident ainsi à coincer des criminels.

Souvenirs

Avec White Collar sur USA Network, quelques souvenirs sériephiliques ont refait surface, datant encore de la fin des années 1990. Le pitch de base est plutôt similaire, vu qu’il s’agit d’arnaqueurs se retrouvant à travailler pour le FBI. Le reste de l’aventure sera différent.

Players débuta à New York, l’agente du FBI étant alors Andrea Roth. Pour des raisons de coût de production j’imagine, la suite de la série se déroulera à Los Angeles sous la houlette de Christine Kowalski, incarnée par Mia Korf. Notre équipe d’arnaqueurs, elle, reste inchangée, et les interprètes sont plus ou moins connus des sériephiles.

Comme je l’ai dit, c’était la fin des années 90, et forcément, on ne coupait pas à quelques clichés télévisuels, nos trois bonshommes entrant déjà dans une case prédéfinie. Il fallait bien qu’ils soient complémentaires me direz-vous, et vous avez raison ! A l’époque, de toute façon, le public était moins prompt à porter un jugement hâtif sur une dynamique classique, nécessaire pour que chacun trouve son utilité dans les intrigues. Quoi qu’il en soit, nous avions Alphonse le dragueur et père d’un garçon de 12 ans, Charlie l’informaticien phobique  fan de baseball et Ice le roi des plans et boss de la bande. Ma préférence personnelle allait à Charlie (j’ai toujours eu un faible pour ce genre de personnage), ce qui doit sûrement expliquer qu’aujourd’hui, j’aime toujours bien croiser la route de Frank John Hughes. A l’arrivée, tous les personnages ont eu leur moment, et dans leur registre, ils étaient tous assez efficaces, la série se permettant autant d’abuser des stéréotypes que de les exploiter dans un but comique.

Avec le temps, vous avez dû le remarquer, je suis sensible aux bonnes séries pop-corn, dont la moitié minimum vise clairement un public masculin, mais auxquelles je ne résiste pas. Players entre assez bien dans cette catégorie. C’était bonne ambiance, fun, décontractée et certaines histoires étaient vraiment bien gérées et/ou ficelées. Pour un visionnage sans prise de tête, c’était parfait.

La série rentre aisément dans ce lot de programmes que j’affectionne, aidé par les multiples rediffusions de M6. D’ailleurs, je crois que la série est repassée l’année dernière sur une chaine de la TNT, mais je ne saurais dire laquelle. Enfin passons. L’originalité ici, c’est qu’elle n’était pas sur la FOX mais sur NBCDick Wolf se cachant derrière. 18 petits épisodes et puis s’en vont, que j’ai tous vu plusieurs fois et pour lesquelles je conserve encore de bons petits souvenirs.

Le générique

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