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Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

James Spader - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Sur nos écrans depuis les années 80, James Spader est probablement un des acteurs les plus difficiles à classer qui soit. Toujours charismatique, engagé dans des rôles d’hommes plus ou moins tendancieux, il évolua à tous les niveaux, passant de petits à gros budgets, de projets expérimentaux à films grand public par excellence. Il fréquenta des auteurs et trouva sa place à la télévision.

À ses débuts, James Spader voulait être le méchant, mais il excella réellement à jouer l’antihéros, comme le prouve The Blacklist. Il domine la série du début à la fin, sa présence étant souvent la seule chose qui justifie qu’on prenne du temps pour la regarder.

Less Than Zero - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Less Than Zero (1987)

James Spader se fit remarquer dans les rôles de personnages qu’il était si facile d’aimer détester. C’était en particulier le cas dans Less Than Zero (ou Neige sur Beverly Hills en France) dans lequel il alimentait les problèmes de drogues de Robert Downey Jr, et dans une moindre mesure dans Pretty In Pink (ou Rose bonbon chez nous) avec son costard et son brushing.

Sexe Mensonges et video - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Sexe, Mensonges et Vidéo (1989)

À la fin des ‘80s et au début des ‘90s donc, James Spader est passé au premier plan dans des rôles peu conventionnels, une transition qui s’est en grande partie fait grâce à Steven Soderbergh et son Sexe, Mensonges et Vidéo qui décrocha la palme d’or à Cannes. Spader nous livre ici ce que beaucoup considère comme étant la meilleure performance de sa carrière, transformant un rôle qui aurait facilement pu devenir risible en quelque chose de fascinant.

Stargate 1994 - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Stargate (1997)

Certainement pas le point culminant de sa carrière, et de loin, Stargatesur lequel on revenait il y a peu – est surtout là parce que ce film était à deux doigts de faire de James Spader une star de blockbuster. S’il avait été un succès au box-office, ce long métrage de Roland Emmerich aurait probablement mis l’acteur sur la route pour être la tête d’affiche d’un film Marvel et non celui qui prête sa voix au méchant de l’été (Avengers : l’ère d’Ultron).

Secretary - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Secretary (2002)

On était sur le point d’oublier James Spader et il fit le plus impressionnant des retours dans un film qui gagna rapidement le statut de culte. Secretary est en soi une comédie romantique avec un twist peu commun, en particulier pour l’époque. Spader et sa secrétaire (Maggie Gyllenhaal) entretiennent une relation sadomasochiste qui est intelligemment représentée – oubliez Les 50 nuances.

Boston Legal - Avant The Blacklist, James Spader avait la carrière la plus improbable qui soit, la preuve en 5 rôles

Boston Legal (2004–2008)

La télévision a bien changé durant la dernière décennie, mais James Spader dominait déjà l’écran dans Boston Legal (aka Boston Justice), décrochant deux Emmy Awards pour sa performance dans ce show. Dans ce spin off de The Practice, il était Alan Shore, un avocat un poil excentrique aux méthodes pas toujours très nettes, mais qui n’est pas amoral pour autant. Il était l’incarnation parfaite d’un personnage écrit par David E. Kelley, tout simplement.

A voir également :  The Music of Chance (1993), Crash (1996) et Driftwood (1997)