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Zapping : Cougar Town

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Cougar Town 215 - Zapping : Cougar Town

Présentation : Parce que l’on a tous découvert par hasard des programmes, une fois par mois, nous allons nous arrêter sur une série que l’on ne regarde pas habituellement pour voir si cela peut nous encourager à la suivre de manière plus régulière.

Ce que je connaissais de Cougar Town ?

Ayant vu plusieurs épisodes de Cougar Town à son lancement, j’en connaissais donc le point de départ, et le fait que la série était particulièrement mal nommée (au point qu’ils ont même pensé à changer le titre). Quoi qu’il en soit, je savais que la série se concentrait sur Jules, mère divorcée qui vend des maisons sous le soleil de Miami, et qu’au cours de ses épisodes, le show avait apparemment évolué en une sitcom arrosée entre potes (en tout cas, ce sont les bruits de couloirs).

Pourquoi avoir regardé cet épisode ?

Il y a quelque mois de cela, j’avais pensé que je devrais prendre un peu de temps pour jeter un coup d’œil à Cougar Town et voir exactement comment la série a évolué. Celle-ci a été absente de la grille des programmes pendant un certain temps, alors je me suis dit que son retour sur ABC était le moment opportun pour regarder un épisode du show.

Verdict de l’épisode : Walls – 2.15

Il est évident au visionnage de Walls que Cougar Town, à l’image de bien d’autres sitcoms, s’est principalement construit une continuité à travers des runnings gags. Du moins, c’est la conclusion à laquelle je suis arrivée devant quelques blagues qui paraissaient plus s’appuyer sur un bagage familier que sur une certaine spontanéité.

Quoi qu’il en soit, l’épisode joue avec la nature de mère protectrice de Jules, ce qui tend à faire ressortir beaucoup de ses excès de comportements. Difficile de savoir si elle est toujours ainsi, mais en tant que mère ours, je ne suis pas convaincue que cela soit le meilleur du personnage qui en ressort. Travis veut donc retrouver sa boite à capsule que la famille à enterrer dans le jardin, semble-t-il (ou en tout cas, nous laisse-t-on croire) pour récupérer la bague de sa grand-mère, et le meilleur de cette partie est clairement les trous dans le jardin ! Jules n’est pas particulièrement drôle et la dynamique avec son fils est assez proche du début de la série.

La bande d’amis a quant à elle des ambitions différentes, avec le projet complètement ridicule de Bobby et Laurie de commercialiser le Penny Can. Il semble que cela soit une marque de fabrique de plonger dans les idées sans potentiel du groupe, avec seulement Grayson comme voie de la sagesse. Le personnage se démarque aisément grâce à cela, de même que son duo avec Andy est plutôt convaincant. Sans être hilarant, il y a bien moins de lourdeurs de ce côté de l’épisode.

Au final, l’ensemble se laisse voir sans trop de déplaisir, mais ce n’était pas non plus très drôle. L’univers de la série s’est clairement développé et il y a une ambiance qui est loin d’être désagréable.

On continue ou pas ?

Honnêtement, je ne sais pas. Je m’attendais à bien plus drôle, et l’épisode ne m’a pas particulièrement fait rire. Ce n’est pas mauvais, ce qui fait que c’est exactement le genre de séries sur laquelle je pourrais justement zapper et rester en attendant une autre, mais je n’ai pas non plus été particulièrement convaincue. Cela mérite peut-être de retenter l’expérience, ou d’approcher la série sous un angle différent pour savoir si oui ou non c’est une comédie dans laquelle j’ai envie de durablement m’investir.

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