Le doctor ramène Martha sur Terre, et s’apprête à partir quand il est intrigué par le dialogue d’un homme à la télévision qui dit qu’il va changer l’avenir de l’espèce humaine. Tish, la sœur de Martha, travaille justement pour cet homme, Lazarus.
Âgé de 77 ans, ou dans ces eaux-là, il va faire la démonstration devant un public, de son rajeunissement après être passé dans une machine.
Mais ce dernier va se transformer en un gros monstre aspirant la vie humaine et ne laissant que les os.
Le doctor et Martha doivent donc l’arrêter, tandis que la mère de Martha s’inquiète pour sa fille et la possible relation qu’elle puisse avoir avec le doctor. Et pour en rajouter, Aaron Sachs, un des financiers de Lazarus vient lui dire que l’ami de sa fille est dangereux.
Voilà enfin ce qu’on attendait de Doctor Who : un concept de base simple, mais bien exploité. Des effets spéciaux qui laissent un peu à désirer, au beau milieu d’une histoire rythmée, de deux trois notes comiques et de quelques explosions. Après un épisode en deux parties mauvais, revoir un vrai épisode de Doctor Who fait plaisir. Le scénariste, bien que nouveau sur la série, ne s’est en plus pas limité à cela, mais à consacrer un minimum de temps à la famille de Martha, et à cette dernière aussi, mettant en avant sa relation avec le doctor et officialisant une bonne fois pour toute le fait qu’elle est sa nouvelle compagne de route. En parallèle, une intrigue secondaire semble lancer, avec Aaron Sachs qui parait connaître le doctor. Cette intrigue étant lancé sur Terre, on peut donc largement supposé que le final de la saison aura lieu sur Terre. J’espère que cela nous donnera l’occasion de voir le père de Martha, absent de cet épisode. Les scénaristes se préparent donc au final de la série. Ça tombe bien, c’était la mi-saison. D’ailleurs, il n’y aura pas d’épisode avant deux semaines. Le doctor nous fait donc patienter un peu, en nous laissant sur un épisode de qualité.