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Leverage – The Nigerian Job (1.01)

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leverage101 - Leverage – The Nigerian Job (1.01)
Nate Ford travaillait pour une grande compagnie d’assurance. Il était parmi les meilleurs, attrapant les voleurs, faussaires et autres criminels qui auraient couté des millions à son employeur. Aujourd’hui, il se fait employer par un ingénieur pour récupérer ses plans volés par un concurrent. Un moyen pour Nate de se venger de son ancien employeur. Il se retrouve avec une équipe de spécialiste qu’il a autrefois arrêté lui-même.

Leverage, c’est L’Agence Tous Risques du 21ème siècle. Plus moderne, donc, plus sexy, plus clean, mais la finalité est là même. Chaque membre a sa spécialité, et le chef a le talent pour les faire travailler ensemble afin d’aider les petits qui ont été victimes d’oppresseurs, vicieux et sans scrupules.

Mais là, on parle déjà de la scène de fin, car avant qu’ils ne se décident à faire ce choix de carrière, il va falloir les mettre ensemble. Pour ce faire, nous allons être introduits à Nate Ford, la tête pensante et la moralité de l’équipe. Il a un passé qui va nous être explicité durant tout l’épisode, faisant la lumière sur la mort de son fils, et, en parallèle, justifiant tous ses choix.

Le reste de l’équipe bénéficie de moins de travail, car il faut dire qu’il n’y en a, pour le moment, pas vraiment besoin. Chaque membre a sa spécialité et se définit par elle. Ce n’est pas très subtil, mais c’est extrêmement efficace. D’ailleurs, il faut noter que comme The A-Team, l’équipe à son fou, enfin, sa folle.

L’histoire n’est pas véritablement originale. Une bande de criminels, engagée pour perpétrer un crime pour un gars bien, mais qui n’est pas si bien que ça et qui va se retourner contre eux. Ils vont chercher à se venger et à récupérer leur argent. Contraints de travailler ensemble, ils vont mettre en place une bonne grosse arnaque. Tout est réglé comme du papier à musique, même si l’on veut nous faire croire le contraire. On ne nous montre pas tout, histoire de garder quelques surprises, et le tour est joué : action, rebondissement et happy end.

Au niveau du casting, cette production Dean Devlin n’a pas pris des débutants, avec Timothy Hutton en tête. On retrouve également l’excellente Gina Bellman, Christian Kane, Aldis Hodge et Beth Riesgraf.

Leverage joue à fond la carte du divertissement, et ne s’y trompe pas. Le pilot nous fait passer une heure de manière assez détendue, sans temps mort, avec une touche d’humour et une fin qui met en place le concept de la série. Il y a du potentiel, si la suite reste dans cette veine.

Cette critique a été publiée pour la première fois le 23 juin 2008. Il n’y a pas de changements significatifs entre le pre-air et le pilot diffusé.

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