The Simpsons – The Greatest Story Ever D’ohed (21.16)
Ned Flanders invite les Simpson en pèlerinage à Jerusalem afin qu’Homer ouvre les yeux.
Voilà un nouveau voyage pour les Simpsons. Cette fois, ils se rendent donc à Jérusalem. En règle générale, ce type d’épisodes joue énormément sur les stéréotypes et cette fois encore cela va être le cas. Chaque occasion est bonne, la majorité du temps, c’est concrétisé par un gag visuel. On s’y attend, c’est donc moins lourd que ça pourrait l’être.
Quoi qu’il en soit, les visites vont être mouvementées, surtout pour Flanders qui va perdre tout espoir en Homer qu’il croyait pouvoir sauver avec ce voyage. Bien entendu, les choses vont finalement se retourner, même s’il faut bien reconnaitre que cela n’ira pas forcément là où on l’aurait attendu.
Au final, l’épisode est assez plaisant et à chaque fois que le guide touristique se met à parler, je n’ai pas pu m’empêcher de rire, je ne sais pas si c’est son accent où les choses qu’ils racontaient, mais il a été très efficace. L’ensemble est donc plutôt bon.
Family Guy – Brian Griffin’s House of Payne (8.15)
Stewie retrouve un scénario écrit par Bryan. Ce dernier va forcer Lois à le lire. Elle va adorer et utiliser les connexions de son père pour aider à le faire produire. Malheureusement pour Brian, le studio va commencer à faire des changements.
Au départ, j’avais l’impression que l’épisode était en train de refaire la saison 2 d’Extras, mais j’ai été chercher loin, car en réalité, c’était américain : The TV Set. Excellent film qui retrace la production d’un pilote qui devient une véritable farce au lieu d’être intelligemment dramatique. Là, c’est exactement pareil, du casting durant lequel l’acteur préféré de Brian est remplacé par James Woods, à la réécriture de l’humour. Certes, le film pousse plus loin dans les problèmes et autres détails du côté du studio, mais globalement c’est la même chose.
Malgré ce manque d’originalité certain, il faut admettre que quand on regarde des séries tv, il est toujours plus facile d’accrocher à ce type d’histoires behind the scenes.
Côté humour, James Woods est bien lourd, mais la réaction de Joe ou le passage du casting de Two and a Half Men offrent de bons moments (et ce ne sont pas les seuls). Par contre, toute l’histoire parallèle avec Stewie est totalement dénuée d’intérêt et aurait mérité de ne pas être écrite. Tout simplement.
Donc, de manière générale, cet épisode a ses bons côtés, mais il aurait clairement gagné à être plus innovant.
The Cleveland Show – Brown Knight (1.16)
Cleveland et Donna se vont agresser à la sortie d’un restaurant. Quand la vidéo de l’acte se retrouve diffusée à la télévision, Cleveland est montré comme un lâche. Il décide alors de retrouver le voleur.
Chez lez Brown, c’est Donna qui porte la culotte. Enfin, c’est l’idée de l’épisode, car Cleveland est le trouillard et sa femme est celle qui n’a pas peur de se battre pour défendre son mari.
L’idée de départ est de jouer avec la place des deux personnages dans le couple. Donna est autoritaire et Cleveland est le gentil immature. Elle est celle qui décide et lui s’excuse et négocie pour avoir ses jouets. Quand ils se font voler et qu’il se prend une balle dans le bras, il passe pour un gros dur, mais au moment où la vérité éclate, il doit tout faire pour corriger cela.
Bien entendu, Cleveland est Cleveland, un peu stupide et pas toujours très débrouillard (sans parler de ses problèmes d’attention). Tout cela se révèlera donc plus dur que prévu pour lui.
Bref, question humour, il y a au moins de quoi être inspiré et au départ cela fonctionnera, même s’il faut bien admettre que c’est Rallo qui s’en sort, une fois de plus, le mieux. D’ailleurs, c’est un peu dommage, car la seconde storyline est presque anecdotique, mais est celle qui est efficace d’un bout à l’autre, tandis que la principale s’essouffle dans sa seconde moitié.
Dans l’ensemble, l’épisode est donc correct, mais sans plus, avec ses bons moments, mais un développement trop prévisible.