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Séries Warehouse 13 Warehouse 13 – Implosion (1.07)

Warehouse 13 – Implosion (1.07)

warehouse 13 107 - Warehouse 13 - Implosion (1.07)

Pete et Myka sont envoyés à Washington D.C. pour récupérer une épée samouraï qui peut rendre invisible. Cependant, l’objet est volé, et ils se retrouvent à chercher le responsable, lié au passé d’Artie.

Claudia a pris des vacances, et Artie sort de la Warehouse ! Les choses ne sont donc pas ultras routinières pour Pete et Myka, qui retournent à Washington pour mettre la main sur une épée, mais leur mission va être compliquée quand ils arrivent trop tard. Quelqu’un s’est emparé de l’objet après avoir causé une implosion. Rapidement, Artie a une idée de qui peut être le responsable et vient les rejoindre sur le terrain.

Sur place, il épaule Pete et Myka dans leur tâche, mais ses silences, ses explications confuses, et le manque d’informations vont leur causer plus de tracas qu’autre chose. Ces zones d’ombres ne seront pas qu’agaçantes que pour Myka, qui se voit alors comme une redshirts, mais aussi pour le spectateur. On découvre les éléments en même temps que nos deux agents dans la majorité des cas, mais l’histoire ne se révèle pourtant pas des plus complexes, et ne méritait pas autant de secrets.

Cette affaire nous donne par ailleurs l’occasion de revoir Mrs. Frederic, qui passe dans le coin quand nécessité oblige. Je me demande bien ce qu’elle fait le reste de son temps, quand Artie et la Warehouse 13 ne suscitent pas quelques difficultés. Quoi qu’il en soit, c’est toujours un plaisir de la voir, et sa présence donne toujours plus de cachet à un épisode.

Ce dernier sert donc en partie Artie, à développer le personnage, et a instaurer un passé, à l’aide d’un ennemi, James MacPherson. On ne détaille pas en profondeur la relation qui lie les deux hommes, on en sait juste assez pour comprendre et cerner leur opposition. Cette construction narrative reflète assez bien l’épisode, qui possède un bon rythme, mais n’est pas aussi riche qu’il semble vouloir l’être. C’est alors plaisant à suivre, mais à la fin, il manque le petit quelque chose et un soupçon de complexité.

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