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Flashback : It’s Like, You Know…

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its like you know 500 - Flashback : It's Like, You Know...

Titre Original : It’s Like, You Know…
Titre Traduit : It’s Like, You Know…
Créateurs : Peter Mehlman
Années : 1999-2000
Nombres d’épisodes : 26
Casting : Chris Eigeman (Arthur Garment), Jennifer Grey (Jennifer Grey), Steven Eckholdt (Robbie Graham), A.J. Langer (Lauren Woods), Evan Handler (Shrug).

L’histoire : Arthur Garment est un auteur new-yorkais qui s’installe chez un ami à Los Angeles le temps d’écrire son livre sur la vie dans cette grande ville de la côte ouest.

Souvenirs

It’s Like, You Know… est une petite sitcom qui n’a pas vécu très longtemps sur ABC. En France, c’est Canal Jimmy qui l’a diffusé, mais peu importe.

C’est donc l’histoire d’Arthur, un journaliste de New York qui déteste tellement Los Angeles qu’il se devait de venir y vivre pour écrire un livre sur le sujet. Ironiquement, quand le livre sera publié, il ne se vendra qu’à Los Angeles. C’est le type de twist typique de la série qui s’amuse à transformer L.A. en un cirque absolument ridicule où chaque petit acte du quotidien peut devenir une excentricité.

Par exemple, des gens prennent un jour de congé pour suivre une course poursuite à la télévision – c’est d’ailleurs dans un des épisodes dont je garde le plus de souvenirs et qui condense relativement bien l’esprit du show.

Pour revenir à Arthur, il était juste méprisant, mais ça ne dérangeait pas ses amis qui prenaient ça comme si de rien n’était, en particulier Shrug, joué par l’excellent Evan Handler, qui était un riche de naissance et qui n’a jamais travaillé de sa vie, ce qui semblait le couper de la réalité.

Côté personnage, c’est certainement Jennifer Grey qui marque le plus, étant donné qu’elle joue son propre rôle et que le fait qu’elle se soit fait refaire le nez sert de running gag tout du long.

Ce qui me plaisait le plus dans cette comédie, ce n’était pas spécialement les caricatures, mais la dynamique entre les personnages qui fonctionnait vraiment bien. Certes, il y avait Lauren qui était un peu trop cantonnée dans sa place de potentiel intérêt romantique, mais le ridicule ambiant faisait que la storyline romantique n’était pas vraiment prédominante, au contraire.

Probablement destinée à sombrer dans l’oubli total, je garde quand même, jusqu’à maintenant, de It’s Like, You Know… un bon souvenir, non pas qu’elle mérite plus, mais elle était vraiment sympathique et se revoyait sans lassitude.

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