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Zapping : The Game – Death Becomes Her (4.11)

the game 411 - Zapping : The Game - Death Becomes Her (4.11)

Présentation : Parce que l’on a tous découvert par hasard des programmes, une fois par mois, nous allons nous arrêter sur une série que l’on ne regarde pas habituellement pour voir si cela peut nous encourager à la suivre de manière plus régulière.

Ce que je connaissais de The Game ?

Je n’ai jamais vu un épisode, mais j’ai couvert l’actualité de son annulation et de sa résurrection. Je savais que c’était une série dérivée d’une autre sitcom de chez UPN nommée Girlfriends (que je n’ai jamais regardé non plus), qu’il y avait Coby Bell, et que ça parlait de joueurs de football américain. Sinon, rien de spécial.

Pourquoi avoir regardé cet épisode ?

Quand on a réfléchi à la création de cette nouvelle chronique, on a pensé à ce que l’on pourrait regarder dans les mois qui venaient afin de l’alimenter. The Game venait de renaitre sur BET s’imposant comme étant un carton (à son échelle) et je me suis dit que ça serait l’occasion d’y jeter un coup d’œil. Et puis, cette semaine, j’avais un peu de temps alors c’est cet épisode qui a été choisi et non un autre.

Verdict de l’épisode

Quand on prend une série en cours, il y a toujours le risque de se retrouver au milieu d’une story-arc et de ne pas avoir toutes les clés pour comprendre. Dans cet épisode particulier, ce n’est le cas que pour une partie mineure de l’épisode qui va, de toute façon, devenir rapidement très clair.

Quoi qu’il en soit, je pensais me retrouver devant une comédie single-caméra traditionnelle, mais dès le départ j’ai eu l’impression d’être devant un soap ponctué de quelques rires en boite histoire de rappeler que c’est une comédie. Le rappel est nécessaire, car ce n’est pas marrant – du tout.

On commence avec la dénommée Tasha qui va rencontrer Mario van Peebles qui joue ici un homme qui dit être mourant – il en rit bien d’ailleurs – et qui invite la demoiselle à vivre quelques moments de folies avec lui, histoire de l’aider à rayer quelques points sur sa liste de choses à faire avant de mourir.

À côté, il y a Tia Mowry qui joue Melanie, la femme de Derwin, qui veut avoir un bébé. C’est la seule chose qu’il y a dans sa vie à l’heure actuelle, semble-t-il, car elle attend patiemment que son mari rentre pour qu’il puisse faire son travail dans la conception de leur future progéniture.

Et donc, il reste l’histoire de Malik, un ami de Derwin dans l’équipe de football de San Diego qui a couché avec la femme du nouveau propriétaire de l’équipe (joué par Michael Beach).

Au final… à un moment je me suis dit que la musique n’était pas trop mauvaise. Il fallait bien que je trouve quelque chose de positif à dire. En soi, les acteurs ne sont pas trop mauvais quand on tient compte des horribles dialogues qu’ils doivent sortir, mais j’ai surtout l’impression que le problème de cette série est de vouloir être marrante au lieu d’embrasser pleinement son côté soap opéra qui dégouline de toute part.

On continue ou pas ?

Non. Tout simplement. Ce n’est définitivement pas fait pour moi. Je suppose que quand on a vécu quelque temps avec les personnages, on doit pouvoir apprécier certaines blagues, mais c’est quand même plutôt mauvais. Et grosse déception, il n’y a pas Coby Bell dans l’épisode ! Même si je doute que ça aurait changé quoi que ce soit.