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Séries Doctor Who Doctor Who – The Satan Pit / La Planète du Diable (2/2) (2.09)

Doctor Who – The Satan Pit / La Planète du Diable (2/2) (2.09)

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doctor who 209 - Doctor Who - The Satan Pit / La Planète du Diable (2/2) (2.09)

Le Tardis est perdu, et Rose et d’autres humains sont bloqués avec des Oods possédés, alors que la planète est absorbée par un trou noir. Le Doctor part dans le trou où la bête est enfermée, au cœur de la planète.

On retrouve Rose, avec les quelques survivants, pourchassés par les Oods, possédés. Ce sera cela qui composera en grande partie la première partie de l’épisode. Ils ne sont plus que 5, il n’en restera plus que 4 à l’arrivée. C’est le coup classique dans les conduits d’aération, des portes qu’on ne peut ouvrir immédiatement, de la menace qui s’approche, mais cela fonctionne.

Le rythme haletant, maintenu depuis le début, s’arrête soudainement. Rose n’avait pas trop le temps de nous faire ses scènes, car le Doctor n’est pas là. Elle recommence donc, une fois que la course poursuite stoppe. Elle n’en a strictement rien à faire de la femme qui se trouve avec lui, et elle le fait bien remarquer, ce qui n’est pas franchement sympathique pour la personne concernée, et pour les amis qui l’entoure. Elle pleurniche un peu trop, alors que nous avons en plus perdu beaucoup du dynamisme des premières 20 minutes.

Le Doctor va au fond du trou, il se laisse tomber, pour faire face à la bête. Une idée assez bancale, cette possible histoire de démon, qui nous prédit la mort de Rose sur le champ de bataille. Le concept est un peu abusé, même s’il n’est pas rare de le voir utilisé dans des séries de ce type. Il n’empêche qu’ici, il y a un sentiment de frustration devant la résolution, trop facile ou trop gratuite, difficile de mettre le point dessus. Pourquoi amener le concept de Diable, si c’est simplement pour l’enchainer, et lui enlever presque tout ce qui en fait la force ? Une simple bête était suffisante, et faisait les mêmes dégâts.

L’épisode offre une conclusion correcte à cette intrigue en deux parties, même si l’idée n’est pas des mieux exploitée.

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